Du 8 au 10 octobre 2013 au Cameroun, le CERDOTOLA (Centre de Recherche et d’Etudes sur les Traditions et les Langues Africaines) invitait le Prince à ses premières journées de communication J2C. Au cours des « palabres scientifiques » organisées lors des J2C l’intervention du Professeur Kum’a Ndumbe III, intitulée « L’historiographie Africaine : socle de toute renaissance Africaine »
Commémoration de la résistance anticoloniale au Cameroun
Le 28 août 2013 marquant le 129e anniversaire du début de la résistance anticoloniale au Cameroun par le Roi Lock Priso (Kum’a Mbapè) est le jour de la déclaration solennelle du Prince Kum’a Ndumbe III au mausolée du souverain patriote en présence des médias, pour un rétablissement de la vérité historique. La célébration du refus de soumission à la domination coloniale allemande, fait ainsi de lui, le tout premier partisan, mais non reconnu, de la résistance anticoloniale au Cameroun, fut présidée par le Prince Kum’a Ndumbe III qui dirige un rituel de commémoration avec la jeunesse camerounaise éveillée, consciente de l’impérativité de prendre le relais du flambeau d’une nouvelle Afrique debout, digne et en pleine renaissance. Sous les feux des médias, de lourdes vérités historiques longuement cachées furent révélées, et deux représentants d’associations culturelles de la jeunesse camerounaise eurent l’honneur d’exprimer leur dévouement à la cause panafricaine et l’enjeu de la mémoire historique de l’Africain moderne. Cette sortie médiatique du Prince et Professeur, fut l’occasion d’un condensé détaillé de cours magistral sur Lock Priso et les circonstances de la colonisation allemande.
a été lu par Khéops Ndumbe Kum, assistant en Communication et Marketing de la Fondation qui s’était rendu à Yaoundé pour porter le messager du conférencier empêché.